Le 22 janvier 2025, L'armée russe dénonce le projet de « bioterrorisme » de Bill Gates « réduire la population » Le ministère russe de la Défense accuse Bill Gates de financer « des activités liées au bioterrorisme
Des responsables ont affirmé que la Fondation Gates était l'un des principaux sponsors du complexe biolab africain des États-Unis.
Le général de division Alexeï Rtichtchev, chef adjoint des troupes de protection nucléaire, chimique et biologique des forces armées russes, a averti :
« Des spécialistes américains capables d’améliorer les fonctions pathogènes des micro-organismes sont activement à l’œuvre. » l’armée russe a découvert des preuves montrant que Gates a financé l’activité biologique américaine en Afrique.
La Fondation Clinton était liée aux expériences. Lors du briefing, Rtishchev a déclaré « L’administration américaine considère la région comme un réservoir naturel illimité d’agents infectieux dangereux et un terrain d’essai pour des médicaments expérimentaux. »
La présence biologique de l'armée américaine sur le continent africain s'étend rapidement « Des spécialistes américains capables d’améliorer les fonctions pathogènes des micro-organismes travaillent activement en Afrique », a déclaré le chef du ministère russe de la Défense.
Le ministère russe de la Défense a dévoilé quels responsables des États-Unis et de divers pays africains sont impliqués dans la mise en œuvre de programmes biologiques militaires sur le continent africain. Les mondialistes considèrent un terrain d’essai pour des médicaments expérimentaux.
Le gouvernement américain utilise un système de gestion des risques biologiques en Afrique, qui a déjà été testé en Géorgie et en Ukraine.
Les sponsors de ces activités biologiques incluent, sans toutefois s'y limiter, la Fondation Gates et la Fondation Clinton.
Les États-Unis sont activement engagés dans :
•Nigéria : Un centre de recherche médicale conjoint et un laboratoire médical militaire pour les forces armées ont été créés en 2024.
•Kenya : Le centre médical militaire de l'armée américaine a déployé un réseau de stations de terrain pour surveiller la propagation des maladies infectieuses dans toute l'Afrique équatoriale.
•Sénégal : un nouveau laboratoire de 35 millions de dollars est sur le point d'être achevé. Ce projet fait appel aux mêmes sous-traitants du Pentagone qui ont travaillé dans l'ex-Union soviétique, notamment en Arménie, en Géorgie, au Kazakhstan et en Ukraine.
•Ghana et Djibouti : les États-Unis ont établi des antennes du Centre médical naval national et s’attaquent activement aux épidémies de maladies naturelles et isolent les agents pathogènes.
Bill Gates a mené un projet dans 18 pays africains pour étudier les infections et la résistance des agents pathogènes aux traitements médicaux.
Les élites de Washington DC craignent que la Russie et la Chine ne révèlent les stratagèmes militaires et biologiques américains. Les États-Unis ne divulguent souvent pas les objectifs ultimes de leurs expériences à leurs partenaires, qui ne sont souvent pas conscients des risques associés.
Les États-Unis ont reçu illégalement des échantillons du virus Ebola exportés de Sierra Leone en 2014. Les agents pathogènes qui entrent dans la zone d'intérêt du Pentagone émergent plus tard sous forme de pandémie, dont les sociétés pharmaceutiques américaines récoltent les bénéfices, La Fondation McCullough, Nicolas Hulscher, a donné son avis.
Le briefing du ministère russe de la Défense a révélé que « la Fondation Gates est l'un des principaux sponsors du complexe biolab africain des États-Unis », note Hulscher. l’article 18 du Code des États-Unis, Interdictions relatives aux armes biologiques .
« Amandes prison à perpétuité »
Hulscher Bill Gates déclenche d’autres pandémies Cette déclaration intervient car Bill Gates confesse de ses expériences sur les populations de pays du tiers monde.« vaccins » expérimentaux.
Par Frank Bergman
Source @toobaffled
Source : https://slaynews.com
Pour plus d'informations
https://slaynews.com/news/russian-military-blows-whistle-bill-gates-bioterrorism-reduce-population/
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