Aujourd'hui bien des menaces sont omniprésentes pour les services publics, elles ne sont pas liées à la fatalité mais à une volonté "politique" (qui dépasse nos frontières) qui a que faire de l'intérêt général, exploitant toutes les possibilités mercantiles sans se soucier des conséquences!
Les conséquences?
Elles peuvent être de nature à supprimer bien des emplois et donc entraîner encore plus de problèmes à surmonter, et là il faudra bien que nos "représentants" prennent leurs responsabilités et s'expliquent sur ces mal-fondés, voire en fassent tout autant les frais car c'est la moindre des choses...
Ils sont ces "représentants politiques" pour la plupart très liés (de près ou de loin...) à des groupes financiers (souvent étrangers aux intérêts réels de notre pays) et donc manifestement ils trompent les citoyens et citoyennes avec pour seule logique celle du profit...ab libitum !
Aujourd'hui certains résultats sont là (délocalisations, restructurations avec en plus des fermetures de services hospitaliers jugés non rentable -un comble!- sans compter les restrictions de personnels etc etc ) ainsi tout va de mal en pis, et pour en justifier les moyens il y a toujours des prétextes invoqués...au fur et à mesure que le temps passe ces prétextes deviennent grossiers.
Et, demain ?
Il y a l'Accord sur le commerce des services (ACS) qui fait l'objet de "concertations" et qui apparaît être une menace bien réelle pour les services publics comme le précise le blog ContreLaCour:
"La principale menace qui pèse sur les services publics provient de la clause du traitement national. Il semble que les participants au projet d’accord envisagent de retenir le principe de la « liste négative » . Ainsi, l’égalité de concurrence concernerait l’ensemble des secteurs, sauf ceux qui seraient expressément exclus par l’Etat signataire, « ce qui signifie que tout soutien financier apporté aux services publics devrait être soit explicitement exclu, soit également ouvert aux prestataires de services privés poursuivant un but lucratif » ..."
(pour plus d'informations)
(Voir aussi notre post édité le 28 avril : ACS un accord qui est un dictat pour les services publics)
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