Organisée par le Collectif des droits sociaux de Paris 14 ème, et, animé par Claude Louzoun et Jean-Pierre Martin de l'Union syndicale de la psychiatrie - "Mais c'est un homme" (1) - avec Odile Barral (magistrate).
Cette réunion-débat se tiendra le 11 mai à 19 heures30
Salle du Moulin-des-Lapins
12 rue Moulin-des-Lapins
(Métro Pernety)
Une pétition est en ligne
- 80 000 lits fermés en 20 ans dans les hôpitaux psychiatriques : la psychiatrie publique est en déshérence.
Pour camoufler la dégradation de ce secteur des services publics, le gouvernement y étend son discours sécuritaire. - Le soin sans consentement
Un projet de loi prétend faire du «soin sans consentement» le modèle du traitement psychiatrique : En posant ce principe d'un soin sous contrainte imposable tant à l'hôpital qu'au domicile du patient, il s'agit d'une atteinte aux libertés individuelles. - Flichiatrie ou psychiatrie ? l'amalgame entre «folie» et «dangerosité» :
Ce projet prévoit le fichage national de toutes les personnes bénéficiant de soins spécialisés. - Le retour de l'aliéné :
Les patients, fichés et contraints, se verraient enfermés dans une véritable trappe psychiatrique : considérés à vie comme des malades mentaux dangereux. Cette régression manifeste la politique de la peur menée par le pouvoir pour promouvoir la société de surveillance qu'il met en place.
Le Conseil Constitutionnel refuse d'instaurer à l'hôpital
le "soin sans consentement"
le "soin sans consentement"
... c'est un petit pas en avant...
Ce projet de loi, déja examiné par l'Assemblée nationale va passer devant le Sénat, le 10 et le 11 Mai.
Ce projet de loi est un leurre démagogique à l'égard des familles, des voisins, de l'ordre public.
Voté, il aurait des conséquences lourdes pour les libertés individuelles, les droits collectifs et le soin psychique.
Cette réunion-débat se tiendra le 11 mai à 19 heures30
Salle du Moulin-des-Lapins
12 rue Moulin-des-Lapins
(Métro Pernety)
Une pétition est en ligne
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