"La Vie Hospitalière"

vendredi 2 septembre 2022

Situation Sanitaire du 2 Septembre 2022

Toutes les données sont à prendre en considération à compter du 31 Décembre 2019.


34.058.960 personnes sont guéries de la covid. 

34.564.246 tests positifs ont été effectués. 

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne  ( 55 décès sont liés théoriquement à la covid, incluant les injectés).








Concernant le Continent africain

11.942.131 personnes sont guéries de la covid. 

12.614.365 tests positifs ont été effectués  ( 1 décès lié théoriquement à la covid).  




















NON au port d'un masque !
NON au pass sanitaire !
NON aux injections toxiques
Réintégration des personnels 
suspendus illégalement !












Voir aussi : 







Halte à la maltraitance

des enfants !

 






 NOS LIBERTÉS (chanté par Ingrid Courrèges)




















Faisons arrêter ces criminels !











Lorsque nous examinons les événements entourant la pandémie du SRAS-CoV-2, diverses questions demeurent sans réponse. Le 18 octobre 2019, quelques semaines seulement avant que ground zero ne soit déclaré à Wuhan, en Chine, deux événements majeurs ont eu lieu. L’un était « Événement 201 », l’autre les « Jeux mondiaux militaires », qui se sont tenus à Wuhan. 

Depuis lors, une pression mondiale pour les vaccins et le suivi biométrique a été lancée.


Bill Gates, qui a publiquement déclaré son intérêt à « réduire la croissance démographique » de 10 à 15 %, au moyen de la vaccination, est à l’avant-garde de cette question. 

Gates, l’UNICEF et l’OMS ont déjà été accusés de manière crédible d’avoir stérilisé intentionnellement des enfants kenyans grâce à l’utilisation d’un antigène HCG caché dans les vaccins contre le tétanos.







Depuis le 20 janvier 2021 la pétition n'est plus disponible
Nous attendons toujours une réponse...
Près de 700.000 signataires demandent justice !












... 

Interview de l'équipe scientifique italienne qui a trouvé de l'oxyde de graphène dans le sang de 94% des individus injectés

   Étude portant sur 1.000 personnes et publiée le 12 Août 2022





https://twitter.com/i/status/1565003584600694786




https://twitter.com/i/status/1565003731753746433




https://twitter.com/i/status/1565003914273067008




https://twitter.com/i/status/1565004071244894209




Étude (en anglais)













...

Québec : Non, il n'y a pas de consensus scientifique!

UN DÉBAT QUI VA FAIRE RÉAGIR

"Au cœur de l'éthique, il y a la vérité et la liberté".

Avec Robert Béliveau (Médecin généraliste), Joël Monzée (Docteur en neuroscience) et Lucie Mandeville (Professeur retraitée de l'Université de Sherbrooke), sur le droit et le devoir des professionnels et scientifiques de s'exprimer





Pour suivre la vidéo








...

Ils ont touché au sacré

À Retenir

De nombreux effets secondaires, graves pour certains, ont été déclarés lors des essais des vaccins Covid sur les enfants de 6 mois à 5 ans.

Les essais cliniques sur les enfants de 6 mois à 5 ans n’ont pas été conduits dans des conditions correctes.

Le niveau de risque de ces vaccins est élevé, pour un bénéfice moindre. La balance bénéfice/risque est négative







La FDA, Food and Drug Administration (administration américaine des denrées et des médicaments) a approuvé, le 15 juin dernier (2022), l’autorisation d’injecter les bébés de plus de 6 mois et les enfants de moins de 5 ans contre la Covid, une maladie qui ne les concerne pas [1]. Il n’y a pas eu, pour cette population, de forme sévère. 
Pourtant, l’essai clinique a déjà révélé 1 effet secondaire grave sur 200 enfants « test » au cours des 28 jours après l’injection. Des bébés et des enfants de cet essai ont rapidement souffert d’infection respiratoire, de Covid sévère voire de Covid multiples (plusieurs d’affilée), de fièvre ou de convulsions, de douleurs thoraciques (ou cardiaques ?), de diabète de type 1, d’épilepsie jusqu’au choc anaphylactique. 
Tous les effets secondaires n’ont pas été mentionnés, puisque des enfants ont été exclus des tests en cours. Ce sont là, imprimées noir sur blanc, les données officielles du dossier d’approbation [2, 3, 4, 5, 6].


Cette administration avait pourtant et jusqu’alors un principe : un produit pharmaceutique à l’essai devait présenter une efficacité supérieure à 50 % pour être approuvé et mis sur le marché. De cette règle, comme de la déontologie et de l’éthique, les plus jeunes, les plus vulnérables ont été dispensés. Quant au paramètre sur lequel a été fondée l’efficacité de cette injection, il est tout bonnement invalide, tandis que le groupe témoins a disparu. Ainsi, les effets indésirables à venir d’un groupe test ne pourront plus être comparés à ceux d’un groupe placébo. Il y a là une imposture méthodologique, pour ne pas parler de fraude, dont les auteurs ne se cachent plus, et le niveau de risque est dans le rouge, sans que ça ne les inquiète le moins du monde. 

Les aînés de ces nouveaux nés, qu’ils soient adolescents ou jeunes adultes, ont avant eux, pour beaucoup, souffert d’effets secondaires graves, certains en sont morts, quoi qu’en dise la censure. Serait-ce maintenant le tour des enfants ? Pour un bénéfice tout aussi inexistant ?


Peu importe les bénéfices, encore moins les risques encourus, ils ont simplement décidé qu’il fallait « vacciner » les plus petits. Ils ont franchi la ligne rouge et touché au sacré. Ils s’attaquent non seulement à des systèmes immunitaires immatures, que l’orfèvrerie du corps humain a pourtant bien en main. Injectés, les bébés et les jeunes enfants verront le leur déjà altéré. En plus, ces injections sont des outils génétiques dont le potentiel sur le long terme est totalement inconnu.


Si les autorités médicales américaines, bientôt européennes, ont failli à leur mission de régulation, il est urgent que les parents jouent leur rôle, majeur, celui de protéger leurs enfants, qui ne peuvent consentir par eux-mêmes. 

Ce consentement doit être celui des parents et éclairé par des sources d’informations fiables, et non basées sur celles prémâchées par les services marketing des grands laboratoires pharmaceutiques, régurgitées par les médias mainstream.


Ils s’en prennent à nos enfants, un acte qui semble sonner l’heure d’enfin toucher le fond. Sonnons celle de la préservation de notre humanité.

Par Julie Lioré, anthropologue, pour le collectif REINFOCOVID





Références

[1] https://reinfocovid.fr/science/covid-19-vacciner-les-enfants-est-ce-bien-ethique/

[2] https://crowdbunker.com/v/t3KATQx5 (14min)

[3] https://drive.google.com/file/d/1KVVuqgEtiqFRltWKh0EWPhV14TXSQev1/view?usp=sharing

[4] https://www.covid-factuel.fr/2022/06/24/vaccinons-nos-enfants/

[5] https://www.fda.gov/media/159157/download

[6] https://www.fda.gov/media/159195/download







Source : reinfocovid.fr

Pour plus d'informations 








...

Réunion publique du Conseil Scientifique Indépendant

 CSI n°69 du 1er Septembre 2022

Invité : Dr Patrick Provost, Professeur titulaire au Département de Microbiologie-infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval, et chercheur au Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval.

Sujet : impact du protocole sanitaire sur la pneumopathie et les antidépresseurs





Pour suivre la vidéo






Présenté par le docteur Louis Fouché

Avec Emmanuelle Darles (enseignante universitaire et chercheur), le Docteur Philippe de Chazournes, Hélène Banoun (Phamacienne et Chercheur), le Docteur Olivier Soulié et Jean-Dominique Michel (Anthropologue de Santé).





Réunion à suivre en priorité sur CrowdBunker

https://crowdbunker.com/@CSI

sur Reinfocovid :

www.reinfocovid.fr/live

sur France soir :

https://www.francesoir.fr/en-coop/le-conseil-scientifique-independant-videos

sur le site de l’AIMSIB

https://www.aimsib.org

ou sur Facebook

https://www.facebook.com/CollectifReinfoCovid




Retrouvez les découpes des CSI en vidéos courtes sur la chaîne CrowdBunker CSI Express :

https://crowdbunker.com/@reinfoexpress64

https://odysee.com/@ColCovMed-Reunion:9











...

jeudi 1 septembre 2022

Situation Sanitaire du 1er Septembre 2022

Toutes les données sont à prendre en considération à compter du 31 Décembre 2019.


34.037.826  personnes sont guéries de la covid. 

34.547.847 tests positifs ont été effectués. 

En France, 1.500 personnes décèdent chaque jour en moyenne  ( 41  décès sont liés théoriquement à la covid, incluant les injectés).








Concernant le Continent africain

11.940.067 personnes sont guéries de la covid. 

12.606.327 tests positifs ont été effectués  ( 1 décès lié  théoriquement à la covid).   




















NON au port d'un masque !
NON au pass sanitaire !
NON aux injections toxiques
Réintégration des personnels 
suspendus illégalement !












Voir aussi : 







Halte à la maltraitance

des enfants !

 






 NOS LIBERTÉS (chanté par Ingrid Courrèges)




















Faisons arrêter ces criminels !











Lorsque nous examinons les événements entourant la pandémie du SRAS-CoV-2, diverses questions demeurent sans réponse. Le 18 octobre 2019, quelques semaines seulement avant que ground zero ne soit déclaré à Wuhan, en Chine, deux événements majeurs ont eu lieu. L’un était « Événement 201 », l’autre les « Jeux mondiaux militaires », qui se sont tenus à Wuhan. 

Depuis lors, une pression mondiale pour les vaccins et le suivi biométrique a été lancée.


Bill Gates, qui a publiquement déclaré son intérêt à « réduire la croissance démographique » de 10 à 15 %, au moyen de la vaccination, est à l’avant-garde de cette question. 

Gates, l’UNICEF et l’OMS ont déjà été accusés de manière crédible d’avoir stérilisé intentionnellement des enfants kenyans grâce à l’utilisation d’un antigène HCG caché dans les vaccins contre le tétanos.







Depuis le 20 janvier 2021 la pétition n'est plus disponible
Nous attendons toujours une réponse...
Près de 700.000 signataires demandent justice !












... 

Profilage d'une personne injectée

 Je vous propose l'analyse d'un discours qui a circulé sur les réseaux sociaux et qui révèle la psychologie d'une personne ayant accepté une thérapie expérimentale






Pour suivre la vidéo











...

« Les vaccins ont augmenté l'épidémie du COVID » (Didier Raoult) !








Heureusement, il y a encore des scientifiques pour résister aux pressions de l’industrie pharmaceutique milliardaire à la poursuite des profits avec ses « vaccins » alambiqués…dont ils voudraient nous imposer une nouvelle dose coûteuse et nuisible. 

Nous ne sommes pas des rats de laboratoires.

Par Robert Bibeau









Source : les7duquebec.net

Pour plus d'informations 











...

La suspension d’un agent du CHU de la Guadeloupe levée par le Tribunal administratif

La suspension de Mme B, aide-soignante au CHU de la Guadeloupe, a été notifiée administrativement le 8 juin 2022, pour une application le 15 janvier 2022. Cette rétroactivité a été épinglée par le tribunal administratif, qui a suspendu cette décision de la direction de l’établissement de santé. Pour l’UTS-UGTG, cette ordonnance de la justice fera jurisprudence







L’ordonnance de référé du tribunal administratif de la Guadeloupe, du vendredi 26 août 2022, va dans le sens de l’Union des travailleurs de la santé, section syndicale de l’Union générale des travailleurs de Guadeloupe (UTS-UGTG).


Depuis plusieurs mois, le syndicat réclame à la direction du Centre hospitalier universitaire (CHU) de la Guadeloupe, le retrait de toutes les décisions de suspension prises à l’encontre de plus de 200 agents.


Le tribunal suspend la suspension de l’agent du CHU

Le juge des référés donne gain de cause à l’aide-soignante Mme B (dont nous préservons l’anonymat). Cette dernière demandait la suspension de la mesure prise à son encontre par son employeur, le CHU.

Par une décision datée du 8 juin 2022, le CHU a suspendu Mme B de ses fonctions rétroactivement, à compter du 15 janvier 2022, parce que cette salariée n’est pas vaccinée contre la Covid-19, conformément aux termes de la loi du 5 août 2021.

Avec l’appui de son avocat, la plaignante a dénoncé le fait que la sanction dont elle fait l’objet a été notifiée à postériori.


Le principe de non-rétroactivité des actes administratifs fait en principe obstacle à ce qu’une décision individuelle entre en vigueur avant sa notification à son destinataire.

Juge des référés


D’où la suspension ordonnée par le tribunal.


L’exécution de la décision du 8 juin 2022 par laquelle le directeur du centre hospitalier de la Guadeloupe a suspendu Mme X de ses fonctions à compter du 15 janvier 2022 et a interrompu le versement de son traitement à compter de cette date, est suspendue.

Extrait de l'ordonnance du 26 août 2022 du tribunal administratif de la Guadeloupe


UTS-UGTG : « Tribinal-la ban nou rézon ! »

Forte de cette décision du tribunal administratif, l’UTS-UGTG exige le retrait de toutes les décisions de « suspension illégales », la réintégration de tous les agents « virés de leur emploi et de leur service » et le paiement de la totalité de leur salaire, « soit plus de 3 millions d’euros au total ».


Le syndicat organisait une conférence de presse, ce lundi matin, devant le Bik des militants mobilisés depuis plus de 10 mois, contre l’obligation vaccinale.


Pour Elière Guiéba, secrétaire général de l’UTS-UGTG, cette décision est une source d’espoir :


Le rapport de force a complètement changé. Il a changé parce que le Conseil d’Etat qui, au début, disait qu’il n’y avait pas d’urgence à traiter ces situations, prend aujourd’hui des décisions, en considérant qu’il s’agit de cas d’urgence (...). Au début du mois de septembre, nous avons toute une série de dossiers qui passeront en justice, dans le privé et dans le public, dans le même contexte que celui qui vient de passer.

Elière Guiéba, secrétaire général de l’UTS-UGTG


Par Nadine Fadel, avec Alexandre Houda 




Source : la1ere.francetvinfo.fr

Pour plus d'informations 

(le texte posté est un extrait)






Note de "La Vie Hospitalière"


"Par une décision datée du 8 juin 2022, le CHU a suspendu Mme B de ses fonctions rétroactivement, à compter du 15 janvier 2022" 

Il faut vraiment avoir une méconnaissance du droit pour prendre une mesure dont l'effet est rétroactif !

Ceci écrit nous répétons, et répétons que la suspension des personnels est illégale, que dans le pire des cas elle aurait du être considérée comme une suspension conservatoire (limitée dans le temps à 4 mois) et sans perte de revenu ! Cette mesure disciplinaire est prise en cas de faute grave;

Or, il ne peut être invoqué une faute grave pour le seul fait que la personne refuse de recevoir une injection qui est toxique, mutagène et expérimentale !

La faute grave est imputable à la personne qui a décidé cette suspension car elle est injustifiée, et contraire aux textes fondamentaux, au droit du travail, au respect de l'intégrité humaine etc

Toutes ces personnes, complices d'un pouvoir oppressif devront avoir des comptes à rendre très sérieusement, ce n'est plus qu'une question de temps.


...