"La Vie Hospitalière"

lundi 22 décembre 2008

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jeudi 18 décembre 2008

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mardi 16 décembre 2008

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mardi 9 décembre 2008

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dimanche 7 décembre 2008

Vers un durcissement de l'hospitalisation d'office?

En visite dans un hôpital psychiatrique à Antony (Hauts-de-Seine), le président de la République, Nicolas Sarkozy, a annoncé un projet de loi pour les hôpitaux psychiatriques. Trois semaines après le meurtre d’un jeune homme par un schizophrène dans une rue de Grenoble, il s’agit surtout de mieux sécuriser les établissements.


Durcissement de l’hospitalisation d’office et plan de sécurisation des établissements. Nicolas Sarkozy a choisi de se rendre à l’hôpital psychiatrique Erasme d’Antony (Hauts-de-Seine) pour annoncer la“ réforme en profondeur ” du secteur, qu’il avait réclamé.

Trois semaines après le meurtre d’un étudiant grenoblois par un schizophrène échappé de l’hôpital Saint-Egrève, l’objectif est surtout sécuritaire. “Mon devoir, c’est de protéger la société et nos compatriotes”, s’est justifié Nicolas Sarkozy.

Premier volet, renforcer la sécurisation des établissements. 70 millions d’euros vont être investis au total. 30 millions iront à des travaux pour améliorer les enceintes et les bâtiments, afin de “mieux contrôler les entrées et les sorties des établissements et à prévenir les fugues”, explique le chef de l’Etat.

Les malades considérés comme les plus à risques seront plus étroitement surveillés : “Certains patients hospitalisés sans leur consentement seront équipés d’un dispositif de géo-localisation, capable de donner l’alerte en cas de fugue”, annonce Nicolas Sarkozy.

samedi 6 décembre 2008

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jeudi 27 novembre 2008

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samedi 8 novembre 2008

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vendredi 7 novembre 2008

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lundi 3 novembre 2008

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samedi 18 octobre 2008

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mercredi 15 octobre 2008

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lundi 6 octobre 2008

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samedi 27 septembre 2008

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lundi 15 septembre 2008

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vendredi 12 septembre 2008

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lundi 8 septembre 2008

Remise du projet de loi Patient Santé Territoire au Conseil des ministres le 23 septembre.

Le 23 septembre, une conférence de presse nationale des comités de défense sera donnée, le jour même de la remise du projet de loi au conseil des ministres patient santé territoire par la ministre de la santé.

Les mobilisations contre le projet de loi qui privilégie une mutualisation des moyens publics et privés notamment commencent dans différents hôpitaux publics.

Du 24 septembre au 24 octobre « 100 débats pour l’accès aux soins » organisés sur l’ensemble du territoire.

A partir du 11 octobre, mise en place d’action relais sur tout le territoire à partir des sites de fermeture déjà répertoriés pour aboutir à Luçon, Vendée, le 24 octobre. Durant les mois d’octobre et de novembre les mobilisations et manifestations vont s’amplifier pour que les politiques tiennent enfin compte des vœux de la population en matière de santé et d’accès aux soins.

vendredi 5 septembre 2008

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mercredi 20 août 2008

Soutenez l'association des usagers de l'hôpital de Carhaix



Les responsables de la toute récente "Association des usagers de l'hôpital de Carhaix et des services de santé du pays Cob" prennent leur bâton de pèlerin. Objectif : rassembler plus de 5.000 adhérents avant la fin du mois.

"Plus nous serons nombreux, mieux nous serons écouté". C'est en quelque sorte la devise de l'association qui, moins d'une dizaine de jours après sa création, compte déjà quelque 300 adhérents.
Dire que son siège social se trouve au cœur du bivouac qui a retrouvé des couleurs serait un tantinet exagéré mais on n'en est pas loin. Car c'est là en effet que, face à l'accueil du Centre hospitalier, toutes les après-midi dès 14 heures, sont enregistrées les adhésions. Pour un euro symbolique, tout citoyen résidant sur le territoire du pays Cob (voire au-delà) peut devenir membre d'une association qui veut voir ses effectifs grossir rapidement, le cap des 5.000 adhérents étant envisagé avant la fin du mois. Pour ce faire, des courriers ont été expédiés dans les mairies des 110 communes du pays Cob, le but du jeu étant de trouver le maximum de relais afin que chacun puisse s'inscrire au plus près de son domicile. D'autre part, quelques personnes se sont portées volontaires afin de démarcher individuellement de futurs adhérents. En outre, des permanences seront tenues lors des rassemblements festifs du mois d'août. Un dispositif qui satisfait pleinement la présidente Régine Abéguilé-Mesgouez, convaincue qu'une fois de plus, la mobilisation sera générale. Car les enjeux sont de taille.
D'abord se pourvoir en justice, chose que, ses statuts ne lui permettant pas, le Comité de défense et de développement du Centre hospitalier ne peut faire. Le motif de la plainte, la mise en danger de la vie d'autrui lors de la fermeture (jugée illégale par le tribunal administratif) des services actifs de l'hôpital dans le courant du mois de juin. Les autres missions de l'association seront définies ultérieurement, des commissions devant être mise en place dès le début du mois de septembre. Définir les besoins des usagers, dire de quel hôpital la population a besoin, rencontrer généralistes et infirmières libérales afin de se faire expliquer pourquoi le taux de fuite est si important, etc... pourraient constituer des pistes de réflexion que le Conseil d'administration planifiera le moment venu.

D'ici là, la présidente souhaite que toutes les personnes disponibles pour assurer des permanences au bivouac se fasse connaître soit directement à la tente soit par mail.




dimanche 3 août 2008

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samedi 2 août 2008

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mercredi 16 juillet 2008

Le vaccin Gardasil pourrait entraîner des complications graves!

Texte  publié le 12 juillet 2008 sur le blog

OGM : rejettés de vos assiettes, ils reviennent dans la seringue!

Une majorité de gens pensent que les OGM à bannir se limitent à la circonférence de leur assiette et qu'en Europe c'est chose plus  ou moins aisée grâce à l'étiquetage.... C'est sans compter les trésors d'imagination des industriels pour amender les lois en leur faveur, pour gruger les gens à coup de slogans et de termes pour  initiés, etc etc... A ce petit jeu les industriels de l'agriculture et de la pharmacie peuvent véritablement se donner la main!Alors que les uns prétendent pouvoir parler de développement  durable  et clament leur volonté "humaniste" de nourrir plus de monde, les autres se prétendent experts en santé et clament leur volonté d'éviter des maladies! C'est ainsi que sur le site de  Monsanto par exemple, on peut lire que les produits insecticides/pesticides sont joliment appelés "produits phytosanitaires" ou "produits de protection des plantes" ou que les OGM végétaux sont  des "plantes génétiquement améliorées.
                                            


 Que fait Big Pharma au juste? Exactement la même chose et le public ne semble hélas y voir que du feu!  L'industrie n'en est pourtant pas à ses premiers vaccins transgéniques et le  public a peut-être déjà oublié le triste scandale du vaccin hépatite B (dont les versions Engerix B, Genhevac, Hevac, HB Vax sont fabriquées par génie génétique). Comme pour les différentes  versions du vaccin HB actuellement sur le marché, les vaccins anti-HPV (vaccins Gardasil et Cervarix) découlent d'une manipulation génétique loin d'être sans conséquences possibles sur la santé  des vaccinés....

 Le vaccin GARDASIL est fabriqué à partir de levure de bière (saccharomyces cerevisiae) génétiquement modifiée pour produire les protéines vaccinales proprement dites c'est à dire dans le cas de  ce vaccin tétravalent les protéines L1 des souches 6 (20µg), 11 (40µg), 16 (40µg), 18 (20µg) de HPV. Les cellules de levure de bière ne sont pas choisies par hasard mais parce que leur très  grande rapidité de reproduction par mitoses sucessives se prête très bien à la production industrielle de masse qui est une production de masse. Pour arriver à faire produire par les cellules de  levure les protéines vaccinales -ce qui n'est pas du tout naturel- il faut forcémment modifier le matériel génétique des cellules et c'est précisément cela qui fera d'elles des OGM, Organismes  Génétiquement Modifiés.... Comment fait-on?
 On va utiliser un vecteur qui va "transporter" dans les cellules de levures les séquences génétiques codantes pour les protéines vaccinales qu'on veut produire. Ce vecteur est le plus  souvent un plasmide d'une bactérie comme Escherichia Coli c'est à dire un ADN circulaire propre aux bactéries et qui est facile à manipuler pour ce type de technologie. Le plasmide va être  "sectionné" en différents endroits grâce à des enzymes spéciales et ce, afin d'y introduire les séquences génétiques codantes pour les protéines vaccinales. On ajoute aussi des substances génétiques spéciales appelées "promoteurs" et des séquences dites activatrices sans quoi les séquences codantes pour les protéines vaccinales ne pourront être exprimées. Outre cela, on va aussi  ajouter un gène de résistance à un antibiotique  (ex: ampycilline) ou à une substance toxique (ex: méthotrexate). Une fois ces informations ajoutées à l'ADN plasmidien, on "recolle" le  tout avec des enzymes toujours et le plasmide est fin prêt pour aller coloniser les cellules de levure de bière qui ne cessent de se multiplier à la vitesse grand V.  Les plasmides bactériens pénètrent très facilement les cellules de levures de bière et ces dernières vont donc commencer à produire les protéines vaccinales souhaitées. Mais comme, au cours de la procédure,  certaines cellules de levure de bière n'auront pas accueilli le plasmide en question, il faut, par souci de rentabilité, les éliminer des autres cellules qui elles, produiront bien les  protéines vaccinales et c'est là le sens des gènes de résistance à un antibiotique ou à une substance toxique que portent les plasmides. En effet, après le processus d'incorporation des plasmides  dans les cellules de levure de bière (=transfection), on va asperger les cellules de levure soit d'antibiotique soit d'un produit toxique. Les cellules qui mourront seront donc forcémment celles  qui n'ont pas le gène de résistance donc qui ne contiennent pas le plasmide et ne pourront pas produire les protéines vaccinales. Et voilà, le tri est fait!

 Une fois qu'on a recueilli les différentes protéines L1 toutes produites séparémment, on va les auto- assembler en pseudo-particules virales (PPV) et ce afin de leurrer le système  immunitaire dont les composants du système inné ne savent répondre qu'à des agents microbiens avec un pouvoir infectant réel (et pas bricolés en labo). Une fois qu'on a ces différents  assemblages en PPV, on va les "purifier" pour obtenir le produit aqueux final. Ce processus de purification se trouve déjà compliqué étant donné que les cellules de levure de bière ne sécrètent pas les protéines vaccinales dans le milieu de culture, ce qui impose pour les récolter de faire éclater les cellules. Cette purification n'est JAMAIS totale et, pour se faire une idée, les  vaccins HB Genhevac et Engerix ont respectivement une "pureté" de 95 et 97%. Si cela peut sembler à première vue très honorable, il ne faudrait tout de même pas oublier que 5 ou même 3%  d'impuretés génétiques cela correspond à des milliers de paires de bases et donc à un grand nombre de nucléotides (= maillons de base du génome) donc à une information génétique potentiellement  très perturbatrice pour l'ADN du sujet vacciné avec des conséquences pouvant apparaitre sur le très très long terme!

 Chaque produit aqueux final (PAF) de HPV est alors adsorbé séparément sur aluminium et devient ce qu'on appelle un produit monovalent adsorbé en vrac (PMAV). Le vaccin final sera  donc une combinaison des 4 types de produits monovalents adsorbés en vrac (PMAV). Et bien sûr sur les notices, pour ceux qui les lisent, il ne sera noté que "vaccin recombinant  adsorbé" ce qui en langage clair signifie: "technologie OGM + aluminium". Des termes pour initiés en espérant que le public sera dupe!

 Et hélas il l'est, ça marche! Il refuse à corps et à cris, à fort juste titre ceci dit, les OGM alimentaires mais, par ignorance, il tend le bras pour son vaccin, parce que "Dr Untel ou Pr  Machin a dit que", sans se rendre compte de son incohérence. La majeure partie des gens qui refusent les OGM les refusent sans vraiment savoir EN QUOI ceux-ci peuvent nous nuire mais il est bon  de le rappeler car si les OGM alimentaires sont dangereux, les vaccins obtenus par la même technologie le sont encore plus, ces derniers ne passant même par par le filtre intestinal, sorte de verrou protecteur si l'on veut. En quoi les OGM alimentaires sont-ils nuisibles? Le Dr Arpad Pusztai, un éminent chercheur anglais qui a mené une expérience comparative sur des rats nourris avec  des OGM et un groupe témoin a pu mettre en évidence, après l'autopsie des rats des deux groupes que, les rats nourris seulement dix jours avec des OGM présentaient déjà un affaiblissement immunitaire, une prolifération cellulaire au niveau du tube digestif et une surstimulation du pancréas, des intestins, de la prostate et des testicules. Evidemment, comme ces résultats -que ne  s'attendait pas à observer le chercheur anglais- ne sont pas du goût des fabricants, ceux-ci ont obtenu la tête du chercheur qui a fini par être odieusement licencié et ils se sont mis à financer  en masse une myriade d'études biaisées en espérant que le public se sentirait rassuré par ce "contrepoids quantitatif" aux études accablantes sur le  sujet.         
                                                                                                                        
                                                                                                                                               

 Dans le cas des vaccins issus de cette technologie, certains feront remarquer qu'ils ne sont pas des OGM mais seulement issus d'OGM. Certes, un OGM est un organisme vivant (être uni ou  pluricellulaires) et non un produit inerte comme un vaccin MAIS ces finesses du langage ne doivent en rien occulter le fait que les résidus génétiques des vaccins ont une action encore bien plus  hasardeuse que celles des OGM alimentaires. En effet, même s'il est néfaste de manger des aliments OGM, il y a là une notion de durée de consommation qui reste maitrisable par le consommateur qui  souhaiterait contrôler ses apports (pour autant que l'étiquettage existe ce qui n'est par exemple par le cas aux USA). De plus les aliments transgéniques eux passent par le filtre intestinal qui  a une action protectrice. Avec un vaccin recombinant, le corps est pris "par surprise", ses barrières muqueuses sont courcircuitées et le vaccin ayant vocation à agir dans le temps, on ne sait en  rien limiter temporellement les effets des résidus une fois l'injection faite.

 Ces résidus génétiques posent de gros problèmes et ce n'est pas faute de l'avoir fait savoir. Très vite  après la sortie des vaccins recombinants contre l'hépatite B (en 1986), le Pr Mirko  Beljanski, ex directeur de recherche au CNRS avait déjà publié une étude inquiétante de différentes enzymes virales. Dans l'étude publiée en 87 et intitulée "Terminal deoxynucleotidyl transferase  and ribonuclease activities in purified hepatitis-B antigen", le Pr Beljanski expliquait que les vaccins recombinants contre l'hépatite B contiennent des enzymes comme la Tdt (Terminal deoxinucleotidyl transferase) et des ribonucléases, des enzymes qui peuvent respectivement induire la synthèse de segments génétiques aberrants et  détruire les ARN produits pas les cellules  du sujet vacciné! Le Pr Beljanski légitimement scandalisé par l'incohérence flagrante qu'il y a à s'inquiéter du taux croissant de cancers et à fermer les yeux sur ce type de dérive commerciale  interrogeait le monde et surtout les responsables en ces termes: "Lorsqu’on affirme qu’une mutation peut engendrer le cancer, que dire alors de fragments d’ADN aberrants synthétisés dans la  cellule hôte par un enzyme viral ! Que dire d’ARN dégradé, ou de fragments d’ARN libérés et dont l’activité est incontrôlable ? Le vaccin contre l’hépatite B issu du génie  génétique contient 10-15 fois plus d’activité dangereuse (Tdt)que le vaccin traditionnel. Pourquoi tout ceci n’a-t-il pas été contrôlé avant la diffusion ?" Réponse: parce que les  fabricants qu'ils soient marchands de vaccins ou d'OGM ne pensent qu'au profit! De ce profit indécent pour quelques un, jailliront des leucémies et autres cancers pour beaucoup d'autres...

 Et pour garantir leurs profits, ces fabricants peuvent compter sur de solides alliés comme sainte OMS, l'incohérente et la corrompue. En effet, l'OMS qui est championne en titre des études  et des investigations est étrangement toujours lanterne rouge dès qu'il s'agit de tirer des conclusions qui épousent le principe de précaution. Dans son ouvrage "Vaccinations, les vérités  indésirables", Michel Georget rappelle ainsi que sainte OMS est bien consciente de ce problème lié à la présence d'ADN  contaminant hétérogène et de protéines transformantes dans les vaccins puisqu'elle en parle même dans un de ses  rapports *... Voici ce que l'agence, championne du monde de l'incohérence dit de l'ADN contaminant hétérogène (pouvant provenir des  cellules de culture ou du plasmide bactérien trafiqué d'où risque de cancer si ces séquences interfèrent avec notre génome): "Même s'il est possible d'indiquer une limite supérieure de  contamination d'un produit fini par de l'ADN hétérogène et, même si toutes les expériences indiquent que des quantités d'un tel ADN de l'ordre de quelques picogrammes sont biologiquement  inactives dans un grand nombre d'épreuves, on ne peut pas plus affirmer l'absence totale d'ADN et du risque qui lui est lié dans les produits obtenus en lignées cellulaires  continues que dans les produits issus de cultures primaires de cellules et de cultures de cellules diploïdes [...] Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence]  est le RISQUE DE MALIGNITE que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de  lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute manière."

 Les lecteurs doivent donc fort logiquement comprendre que l'OMS qui est censé chapauter ce type de campagne vaccinale à l'échelle du monde ne maitrise rien et ne sait en rien si oui ou non ces  vaccins peuvent induire des cancers. Pour faire plaisir à ses amis de l'industrie, l'OMS va véritablement se surpasser puisque non seulement elle n'applique pas le principe de précaution que  chacun serait en droit d'exiger de sa part mais pire, elle va oser affirmer que ces vaccins anti-HPV (comme elle a déjà osé affirmer que les vaccins recombinants anti hépatite B luttent  contre les cancers du foie!) lutteront contre le cancer du col dans le monde. Le pari fou de sainte OMS et de ses acolytes au premier rang desquels l'industrie est donc de vous faire gober à vous  public que des vaccins contenant des produits pouvant générer des cancers serviront à lutter contre le cancer! Au terme de cet article, j'ai envie de vous poser la question à vous lecteurs:  allez-vous leur permettre de gagner leur pari?


 Sources:


 Notice du Gardasil

 "Information ou désinformation" de Sylvie Simon, édition Guy Trédaniel

 "Le monde selon Monsanto" de Marie Monique Robin, Arte éditions

 "Vaccinations, les vérités indésirables" de Michel Georget, éditions Dangles

 * "Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques", Rapport technique OMS, n°747, 1987

 "Vaccination: erreur médicale du siècle", édition Louise Courteau

http://64.233.183.104/search?q=cache:g8euv4dtaocJ:www.amessi.org/Vaccins-destructeurs+vaccin+HB+Tdt+beljanski&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=be

http://64.233.183.104/search?q=cache:TjCVopvw9vcJ:www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/prodpharma/sbd-smd/phase1-decision/drug-med/sbd_smd_2007_gardasil_102682_f.html+fabrication+du+gardasil+saccharomyces+cerevisiae&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=be


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dimanche 13 janvier 2008

Témoignage : les cliniques bien soignées...

Les cliniques sont des groupes puissants qui n'aspirent qu'à une chose : pomper la securité sociale à son maximun. Ils abusent certaines fois, pour ne pas dire régulièrement. Ces  maniaques du profit creusent le trou de la Sécu.

 En effet, un groupe de cliniques, la Générale de Santé, a ponctionné exagérément la CNAM pendant des année. Un ancien cadre du groupe a dénoncé cette pratique. Depuis, il a été licencié.  Apparemment, ce groupe empochait 2 fois le montant remboursé !

( www.marianne2.fr/Quand-les-cliniques-privees-taxent-la-Secu-_a82022.html)
Note: voir l'extrait que nous publions après le post.

 D'autres escroqueries peu visibles sont manigancées tous les jours. C'est ce que me rapporte une infirmière qui travaille à mi-temps dans une clinique psychiatrique privée conventionnée de la  région parisienne.
Témoignage :


 "Diplômée depuis 1986, je suis une ancienne infirmière psy à la retraite. Pour arrondir mes fins de mois, je bosse dans une clinique psychiatrique conventionnée avec les  caisses d'assurance maladie et les mutuelles.  Cette clinique a pour vocation de soigner les troubles psychologiques et psychiatriques aigus ou subaigus.
 Je travaille dans une petite unité, seule pour 14 patients, tous autonomes. Ils souffrent généralement de TOC et de dépression. Jusque là, rien d'anormal, Sauf que les soignants ne peuvent pas  participer aux rencontres très précieuses entre le supposé malade et le psychiatre. Nous ne savons pas ce qui s'y dit, car le médecin ne nous en informe pas et le dossier de soins est informatisé,  protégé par un code. Les compte-rendus ne peuvent être consultés.
 La durée moyenne de séjour est de 1 mois. Dans mon unité, presque tout les patients partent au bout de 1 mois. Ca m'a intriguée. Je me suis renseignée auprès d'une secrétaire comptable avec qui  j'entretiens de bons rapports, qui m'a expliqué une chose étonnante. Les médecins abusent des patients et la CNAM. Je m'explique.
 Une malade qui rentre pour dépression passagère devrait rester hospitalisée 2 semaines si son état évolue bien. Or, les médecins font en sorte de la convaincre de rester 2 semaines de plus. En  général, elle accepte car un médecin est un médecin compétent et sérieux. L'escroquerie est de faire le maximun de profit. Les mutuelles complètent les frais de séjour pour une dépression un mois  seulement. Après, c'est à l'assuré de payer de sa poche le ticket modérateur. Inversement, même si la malade n'est pas vraiment guérie, au bout d'un mois on rapporte à la malade qu'elle est  beaucoup mieux et qu'elle peut parfaitement affronter ses angoisses, et qu'elle est priée de s'en aller.
 Il est vrai que l'occupation des chambres est toujours à 100%. Ils s'arrangent ainsi pour gagner de l'argent et ne jamais laisser des lits vides.
 Je suis écoeurée de ces pratiques qui doivent exister aussi sur toute la France. On dit que ce sont les français qui causent le trou de la Sécu. Bravo, les cliniques y participent beaucoup. Sans  réel efficacité thérapeutique.
 Je suis inquiet, non pour moi, mais pour les générations futures et en particulier mes petits enfants."

 Sans commentaire

Ce texte provient du blog dont le lien est ci-dessous:

http://viehopital.over-blog.com/article-15561811.html



   
Quand les cliniques privées taxent la Sécu…
Article de Pauline Delassus
 (17 Décembre 2007)


La Générale de Santé est accusée d’avoir encaissé, pendant plusieurs années, des remboursements abusifs de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie.

Les assurés ne sont pas les seuls à creuser le trou de la Sécu. Pendant quatorze ans, Slim Ghedamsi a été directeur adjoint de l’audit du groupe Générale de Santé. Ce groupe, numéro un du secteur des cliniques, avec 170 établissements pour un chiffre d’affaires en 2006 de 1,4 milliard d’euros, est accusé par Slim Ghedamsi, d’avoir alimenté sa trésorerie pendant plusieurs années avec des millions d’euros versés à tort par l’assurance maladie, 24 selon M.Ghedamsi. En 2001, un nouveau dispositif de caisses centralisées des paiements et des facturations des cliniques est mis en place à la Générale avec un système de caisses pivots prenant en charge tous les remboursements. Installé apparemment trop vite, ce système provoque un énorme bug informatique dans les chaînes de traitement de l’assurance maladie. Pendant deux ans, jusqu’à fin 2003, les caisses ne savent plus ce qui était payé et elles remboursent plusieurs fois les mêmes cliniques. « Dès 2001 j’ai prévenu qu’il y avait de grosses erreurs commises par la machine. On m’a écouté mais les remboursements prenaient beaucoup de temps » explique M.Ghedamsi. Dans l’année 2003, arrive un nouveau directeur général qui prend en compte ces erreurs : « Il s’est tout de suite demandé comment transformer ces indus en profit, continue l’ancien cadre, et il a fait passer une note confidentielle aux cadres indiquant la manière de procéder ». 

La Caisse Nationale d’Assurance Maladie (Cnam) n’a jamais été prévenue de ces remboursements abusifs. « J’ai écrit au directeur de la Cnam le 10 avril 2004, j’ai également prévenu le directeur de la répression des fraudes, dès lors je suis rentré en conflit avec la direction de la Générale qui m’a licencié pour faute grave et harcèlement moral en 2005 » nous raconte très en colère Slim Ghedamsi qui, depuis, n’a cessé de se battre afin d’alerter l’opinion et les institutions sur cette fraude scandaleuse.

"L’affaire est sortie en février 2007 dans Le Canard enchaîné, a été reprise par le Parisien en novembre et par l’Humanité ce jeudi . L’Union des familles laïques (Ufal), une association de défense des assurés sociaux, a pris le dossier en main: « Je demande une intervention dans les comptes des cliniques, on ne sait pas combien en tout a été remboursé frauduleusement, c’est impossible que tout ait été récupéré » déclare le plaignant.

..."L’Ufal a été reçue par la Cnam, dont les représentants lui ont assuré que l’affaire était close et qu’il n’y avait plus aucun problème. « Nous avons des preuves montrant que tout l’argent n’a pas été rendu. La Cnam nous a assuré le contraire, c’est une institution qui se doit d’être transparente pourtant elle minimise étrangement les avantages des cliniques privées aux dépens des hôpitaux et je ne sais vraiment pas pourquoi» s’interroge Teper.
À la Cnam, la réaction du service de presse tient en une phrase : « C’est une affaire réglée ». Ils insistent : « Les sommes ont été récupérées, il ne reste que 475 000 euros en litige ». Les sommes en question ne sont pas précisées, « on ne sait pas de combien il s’agissait, ajoute-t-ils précisant finalement : En février 2007, un million d’euros étaient en litige ». L’affaire ne semble pourtant pas entièrement réglée puisqu’un groupe de travail a été formé à la Cnam pour suivre les évolutions du dossier, avons-nous appris auprès du ministère de la Santé qui a indiqué être « solidaire de la Cnam, victime d’une fraude grave ». La Cour des comptes s’est saisie de l’affaire, la Justice devrait suivre. Il reste cependant étrange que la Cnam, cible dans cette affaire, ne soit pas du tout encline à la poursuite de l’enquête. Quand les citoyens sont accusés de couler la caisse maladie par négligences et abus, les groupes privés semblent eux protégés, même par la victime de leurs entourloupes."


(Extrait sous copyright)

mardi 8 janvier 2008

A20080108

vendredi 4 janvier 2008

A20080104