"La Vie Hospitalière"

jeudi 21 avril 2011

Des élus, de la Provence Verte et du Centre Var, lancent un appel pour sauver l'Hôpital de Brignoles

PRÉSERVONS L'OFFRE DE SOINS SUR NOTRE TERRITOIRE !

L’hôpital de Brignoles est un outil majeur de la Santé Publique sur le territoire de la Provence Verte et du Centre Var. La diversité de l’Offre de Soins apparaît comme une nécessité afin de maintenir la continuité territoriale du Service Public de Santé. Notre territoire connaît un essor économique et démographique sans précédent qui exige de préserver et soutenir l’activité de l’Hôpital de Brignoles, des vies en dépendent au quotidien.



Si nous sommes disposés à accepter des réformes afin de garantir la pérennité financière de l’établissement, NOUS REFUSONS CATÉGORIQUEMENT la suppression des services de Chirurgie, de Maternité et des Urgences et nous exigeons que l’Etat tienne ses promesses d’investissement dans les plus brefs délais.

Les signataires


Lien pour signer la pétition


Lien du blog "Sauvons l'Hôpital de Brignoles"

jeudi 7 avril 2011

Les personnels de l'Hôpital de Meaux se mobilisent.

Dans le cadre d'une intersyndicale regroupant 3 organisations : Autonomes (UFAS), CFDT et CGT les personnels de l'hôpital de Meaux vont mener des actions ponctuelles (à partir du 26 avril et jusqu'au 1er juillet 2011 (une Assemblée générale des personnels qui s'est tenue le 5 avril a été déterminante sur les actions à mener...).
Le nouveau Directeur prendra ses fonctions à compter du 1 er juillet et c'est aussi à partir de ce jour que le quart des RTT seront supprimés pour les personnels (hors cadres car ces derniers bénéficient de 25 jours de RTT qui sont forfaitaires).

L'intersyndicale appelle à la grève, elle refuse cette suppression d'un acquis qui avait été contractualisé dans le cadre de l'accord sur les 35 heures. 

Le 28 avril une manifestation dans la ville de Meaux est prévue.

Le Centre hospitalier de Meaux
(photo "La Vie Hospitalière")

Si ces mesures permettront d'économiser une trentaine de postes au niveau budgétaire sur une année, la décision est un peu trop facile, et, bien à l'image des orientations politiques actuelles qui visent à faire supporter par la majorité des salariés les déficits causés généralement par des mesures gouvernementales qui entraînent des difficultés financières autorisant ainsi bien des opérations dite de "rééquilibrage"...

Les jours de RTT  passeront de 20 à 15 pour les personnels (hors cadres) il est plus que probable que cette décision risque d'avoir un effet  très négatif, en effet il n'est pas pris en considération que les personnels travaillent dans des conditions tendues à l'extrème, et qu'à force même avec la meilleure volonté possible c'est la fatigue qui prend le dessus. Or, le problème de l'absentéisme est assez préoccupant au Centre hospitalier de Meaux et il est évident qu'il ne pourra que s'accroître, on ne joue pas avec la santé des gens, et, encore moins en milieu hospitalier!

Monsieur Jean-François Copé, (1) Président du Conseil de surveillance est évidemment pas du même avis que l'Intersyndicale, mais comment  pourrait-il avoir un avis différent?  Lui qui représente ces hommes politiques qui participent à la casse des acquis sociaux, et qui cherchent à profiter de toutes les situations en mettant tout particulièrement à mal les services publics.

A tendre trop la corde elle ne peut que casser.

1) Président de l'UMP...

mercredi 6 avril 2011

L'APRI intervient auprès du directeur de l'ARS d'Ile-de-france

 L'APRI a marquée, auprès de Monsieur Claude Evin, sa désapprobation concernant le  risque de fermeture du service de radiothérapie public de Lagny /Marne  à l'ouverture du Centre hospitalier de Lagny Marne-la-Vallée (sur la  commune de Jossigny),  en juin 2012.  

" ne pouvant que constater que les  orientations engagées vont vers le dépouillement  du service  public...?!"

 L'APRI dénonce aussi le fait que : "...la radiothérapie en Seine-et-Marne risque de tomber dans sa totalité aux mains d'intérêts privés, c'est à écrire et à souligner, tant ceci n'apparaît pas fondé sur des notions très humaines, mais bien plus de rentabilité évidente et c'est bien là le pire.

 Nous vous rappelons (car vous n'êtes pas sans le savoir) que depuis avril 2010, le service de radiothérapie (publique) du Centre hospîtalier de Lagny a mis en place l’Irradiation Corporelle Totale (ICT) . Ce service a signé une convention avec l'AP-HP prenant ainsi en charge les ICP  des services d’hématologie de toute la région Ile-de-france, il est le seul à le faire!
 Le "nouveau service de radiothérapie privé" (1) s'engagera t'il dans la prise en charge de l'ICP? Rappelant que cette technique  est utilisée pour  la majorité des traitements des leucémies aiguë, bien
 que cette pathologie est rare, où se feront suivre les patients  ? (2)

 Cette technique nécessite de nombreux contrôles qui mobilisent obligatoirement du personnel (3) ,  peu de centres effectuent cette technique estimée...peu rentable."

 L'APRI dénonce aussi le fait que dans le service de radiothérapie (SROSF) de Mareuil-lès-Meaux le personnel qualifié n'est pas en nombre suffisant par rapport aux séances réalisées, et, rapporte  que ceci  est un facteur favorisant les incidents, la presse en a fait largement état.
"Le personnel travaille de plus en plus en " flux tendu" dans (la plupart)  des services de radiothérapie, c'est ce qui a été l'un des paramètres de certains accidents d'irradiation thérapeutique, dont celui que nous avions dénoncé dès l'accident au service de radiothérapie de Grenoble."

 Rappelant dans son intervention auprès de Monsieur Claude Evin, que l'Association pour la Protection contre les Rayonnements Ionisants était intervenue en 2005 auprès de l'Agence de Sureté   Nucléaire (ASN) suite aux accidents  radiothérapiques (qui provenaient principalement d'erreurs humaines):

Le Professeur Michel Bourguignon (représentant l'ASN) avait précisé alors que des contrôles étaient prévus dans les services de radiothérapie et que ces derniers seraient publiés dans le rapport annuel de l'ASN : 
"...je suis particulièrement attaché à la mission d'information du public de l'ASN sur les sujets se rapportant à la sûreté nucléaire et à la radioprotection"...

Quoiqu'il en soit, il apparaît évident que les informations concernant la réorganisation de la radiothérapie en Ile-de-france sont dans une confidentialité absolue, il nous faudra rechercher les raisons profondes d'un tel manquement, à suivre donc, et, de très près...


 
1) Qui utilisera locaux et matériel , financés par les fonds publics probablement, ceci est à suivre de très près...
2) Trois cas pour 100.000 personnes/An.
3) La durée d'une séance est d'une heure.
4) Grenoble en 2003, Lyon  et Tours en 2004, Epinal en 2004 et 2005, Toulouse en 2006 et 2007. 

Notes "La Vie Hospitalière" : Fondée en 1962  l'APRI est une association historique (présidents honoraires : Jean Pignero (fondateur), Docteur Pierre Pizon, Expert  auprès des tribunaux, Maurice Eugène André Expert international NBC, président : Gérard Pierrot.

L'APRI a, en son temps,  fait prendre conscience des dangers des examens radiologiques, de là des mesures ont été prises, afin que l'exposition aux rayons X soit diminuée considérablement,  aujourd'hui l'association porte surtout ses activités sur l'information relative aux risques et dangers des rayonnements ionisants.
De nombreux ouvrages sont publiés par l'APRI  (citons "L'atome et l'histoire", "Les règles médicales et légales de la protection contre les radiations ionisantes", "Mémorandum des médecins dénoncant la nocivié et les dangers de l'industrie nucléaire" etc).

L'avenir de la radiothérapie publique, en Ile-de-france, menacée par Claude Evin

Le Sénateur Michel Billout intervient une nouvelle fois auprès du ministère de la Santé, 
"La Vie Hospitalière" publie l'intégralité de son texte. 

M. Michel Billout attire l’attention de Mme la secrétaire d’État chargée de la santé sur l’avenir de la radiothérapie en Seine-et-Marne. Ce département dispose en effet de quatre centres de radiothérapie :  deux relevant du secteur privé à but lucratif, un à but non lucratif et un public, situé au sein de l’hôpital de Lagny, un des deux seuls centres publics en Île-de-France, hors APHP. Une restructuration de la radiothérapie sur le département est actuellement envisagée par l’agence régionale de santé (ARS).

Sur ces quatre centres, seules les structures privées à but lucratif ne sont pas menacées de fermeture. À aucun moment, le renforcement des services de radiothérapie du centre de Forcilles et de l’hôpital de Lagny  n’a été, semble-t-il, envisagé alors que ces deux structures disposent d’atouts considérables.

Le centre de Forcilles, associant radiothérapie, chimiothérapie et nutrition entérale et parentérale a acquis dans ce domaine une expérience exceptionnelle de 35 ans (installation de la radiothérapie en 1975) qui lui a conféré une réputation nationale et internationale. Il est par ailleurs très bien noté par l’Autorité de sûreté nucléaire : « La réalisation quasi-exhaustive des contrôles de qualité interne des installations de radiothérapie et les contrôles techniques de radioprotection sont un point fort du service. Le processus de formation et d’habilitation du personnel du service de radiothérapie est également un point fort. » Il ne doit pourtant aujourd’hui son maintien qu’à une décision du tribunal administratif de Melun, en date du 30 mars 2010.

Le service de radiothérapie de Lagny est, quant à lui, exemplaire tant au niveau des compétences que du savoir faire, reconnu parmi les patients ainsi que par l’ensemble de la profession. Il est menacé de fermeture au profit d’une clinique privée parce qu’il n’atteindrait pas le fameux seuil de 600 patients par an puisque ce service n’en reçoit que 550. Il manquerait donc un patient par semaine pour atteindre un seuil qui n’est, par ailleurs, justifié par aucun critère scientifique.  De plus, l’ARS indique souhaiter éviter ce que l’on pourrait appeler l’évasion médicale en incitant les malades à se soigner plus près de chez eux. La question est donc de savoir si la disparition de deux centres sur quatre permettra de répondre à cet objectif.

De véritables coopérations entre structures pourraient, au contraire, être envisagées afin de préserver et développer ces structures tout en permettant aux patients de continuer de choisir leur lieu de soin.

Le maintien des deux seuls centres de radiothérapie du secteur privé à but lucratif ne pouvant être garant à lui seul d’un accès au soin pour tous, quels que soient les revenus, dans des délais de prise en charge raisonnables pour ce type de maladie, il souhaite donc connaître les mesures que compte prendre le Gouvernement afin d’assurer l’accès et le développement pour tous les usagers des structures de radiothérapie en Seine-et-Marne, dont le très vaste territoire couvre la moitié de l’Île-de-France.

Michel Billout
Sénateur

mardi 5 avril 2011

Le futur Centre hospitalier Sud francilien a eu un incident électrique.

Hier,  vers 17 heures, plus d'une dizaine de pompiers sont intervenus dans les locaux du futur Centre hospitalier Sud francilien, à  Corbeil-Essonnes (dans le 91), suite à un incident électrique.

L'origine de cet incident est une panne du système des quatre groupes électrogènes  qui avaient pris le relais pour pallier à une coupure d'électricité (réalisée par une filiale d'EDF...) pour une mise en conformité du réseau.
Les pompiers sont restés deux heures sur place, il n'y a pas eu de dégats significatifs, mais cette situation nous interpelle car elle aurait pu être grave si le Centre hospitalier avait été ouvert (particulièrement pour les services de réanimation,  les blocs opératoires etc)...
Cet établissement de santé ouvrira dans moins de six mois...
Bien que différents tests sont réalisés depuis le début de l'année afin de vérifier toutes les installations (1). C'est encore là la démonstration que "l'incident technique" peut être imprévisible si tous les paramètres ne sont pas effectivement pris en compte.
Souhaitons que cette situation soit prise en compte à l'avenir afin  que la fiabilité du réseau électrique de secours ne soit pas remis en question.


1) En mars une rupture d'une canalisation d'eau s'est aussi produite.

dimanche 3 avril 2011

Pour la défense de l'Hôpital public !

Les manifestations pour la défense de l'Hôpital public, ont démontré que les hospitaliers et tous ceux qui de près ou de loin  sont attachés à la Fonction publique hospitalière ne seront pas les laissés pour compte des orientations  engagées, sous le couvert de la  loi  "Hôpital, Patients, Santé et Territoire" (HPST) !

Il faut que les autorités (ARS etc) respectent non seulement la Fonction Publique Hospitalière, mais tous les patients quels qu'ils soient.Le principe de  l’égalité d’accès aux soins  doit  être un droit fondamental pour tous. Or, nous voyons de plus en plus une certaine sélectivité de la "clientèle" selon les pathologies les moins coûteuses mais aussi selon ... les ressources...  il faut que les services publics soient considérés non pas comme une entreprise (ce qui est dans le fond contestable) mais bien comme un service public comme il se doit d'être...les plus démunis sont évidemment les plus touchés.

Les impôts que nous payons doivent servir en priorité les causes publiques et non subventionner (directement ou indirectement) des opérations privées (1).

Car au fur et à mesure que les jours passent les difficultés grandissent, cette loi légalise de  possibles abus qui pourront être préjudiciables pour ceux qui n'ont pas les moyens de se faire soigner.

Elle permet sous des prétextes de rentabilité  de démanteler des services,  voire dans le temps des centres hospitaliers publics .

A titre d'exemple les services (publics) de radiothérapie en Ile-de-france pourraient être fermés pour le prétexte notamment d'un manque de... rentabilité (2).

Les petites structures hospitalières sont menacées de plus en plus.

Le Collectif de défense de la Maternité des Lilas (2 avril 2011).


Le personnel est le premier à supporter les conséquences de cette gestion sans commune mesure avec d'impérieuses nécessités... sans fondement avec les engagements et les missions propres à la Fonction Publique Hospitalière (FPH).

Notre système de santé est de plus menacé par des prédateurs, qui sans aucun scrupule se préparent à en tirer des bénéfices considérables (regardez autour de vous combien d'établissements privés se construisent en ce moment, et, combien de restructurations sont engagées dans le service public hospitalier,  les lobbies ne sauraient s'en plaindre...).

A suivre...

1) On a des exemples de patients maltraités dans des structures qui ont remplacé de véritables services publics.
Dans ces structures privées, il est fait l'économie de personnels,  en prenant des personnes sans aucune compétence professionnelle... si la responsabilité morale en revient aux directeurs de ces établissements, que la responsabilité pénale est engagée pour les personnels (quand les faits sont graves): la responsabilité pleine et entière des autorités de Santé doit aussi être mise en avant, car en permettant une marchandisation de la santé on autorise bien des excès inqualifiables.

2) Se reporter au communiqué de presse de l'ARS d'Ile-de-france du 11 mars 2011.


Signez et faites signer cette pétition pour la défense de l'hôpital public:

vendredi 1 avril 2011

Le Code des directeurs d'Etablissements de santé et médicaux Sociaux a été présenté à l'Académie de médecine ce jour

Un Code de Déontologie des Directeurs d'Etablissements de Santé et Médicaux Sociaux, a été présenté à l'Académie de Médecine ce jour, dans le cadre de la 5 ème Agora du Développement Durable en Santé.

Le thème principal était : « la santé des personnels et la qualité de vie au travail ».


"la santé des personnels, la qualité de vie au travail, mais aussi l’activité du soin en termes d’impact sur l’humain, font partie intégrante du pilier social du Développement Durable. 
Il est de notre responsabilité, d’éviter les impacts négatifs sur les patients comme sur les collaborateurs. " (1)

  
La qualité de vie au travail constitue l’un des huit critères de Développement Durable figurant dans le cahier des charges de la certification V2010 ou V3 pilotée par la Haute Autorité de Santé.
Garantir la santé des acteurs du soin est une exigence fondamentale du monde hospitalier au regard du nombre de risques auxquels ils sont confrontés – risques psychologiques, violences, stress, troubles musculosquelettiques, exposition à des substances toxiques… – et du rôle que jouent les conditions de travail dans la qualité du soin et la relation au patient.

C’est aussi une obligation de moyens et de résultats en vue d’une amélioration continue de la sécurité comme de la qualité. Cela vaut particulièrement pour ceux qui choisissent d’adopter, dans leur établissement, les bonnes pratiques du Développement Durable pour une meilleure santé.
Corinne Lepage (Députée européenne et Présidente de CAP 21) et le Professeur Gentilini ( Président honoraire de l’Académie de Médecine et membre d’honneur du C2DS) ont ouvert le débat.

Un Etat des lieux d’une population en souffrance en France et en Europe a été animé par le Docteur Madeleine Estryn-Behar praticien hospitalier en médecine du travail (AP-HP Hôtel-Dieu) et  responsable pour la France des enquêtes européennes PRESST-NEXT et SESMAT, ainsi que par Marc Wasilewski, Président de la médecine du travail de Haute-Vienne. La présentation des études européennes PRESST-NEXT (PRomouvoir en Europe Santé et satisfaction des Soignants au Travail), réalisée auprès de 40.000 soignants de dix pays européens, et SESMAT (Santé Et Satisfaction des Médecins Au Travail) a été très significative et explicite de la souffrance au travail.


Présenté par le Président du C2DS (Olivier Toma) et Xavier Dupla, élève en première année du CESEGH (Centre d'Études Supérieures en Économie et Gestion Hospitalière), le Code de déontologie des managers de santé, qui a été rédigé par un groupe de travail composé de directeurs d'établissements séniors, d'universitaires et de soignants pour définir les valeurs et l'éthique des managers d’établissements s'inscrit dans une vision globale de Développement Durable en santé, d'accueil et de responsabilisation des acteurs de la santé au service des générations à venir.

Ce Code de déontologie est celui des directeurs d’établissements engagés et responsables.


Les autres sujets abordés ont tous été aussi riches, citons:
-"Santé au travail et nutrition des salariés", avec des exemples des travaux du groupe « Nutrition » du C2DS : restitution de l’enquête menée par le C2DS auprès des personnels à horaires décalés et de nuit (750 personnes de 14 établissements publics et privés).

-"Stress, un mal qui touche équipes et patients" avec des exemples d’établissements qui utilisent des techniques innovantes pour appréhender le stress.

-"Prévention du risque chimique" avec le témoignage du CHU de Brest : présentation de l’étude en cours sur l’exposition du personnel de l’établissement aux substances CMR (pilotage de la démarche, parties prenantes associées, freins rencontrés, coûts et actions mises en oeuvre pour limiter les risques) .
Docteur Bénédicte Sawicki – Médecin du travail accompagnée d’une infirmière.

-"Santé au travail, Qualité de vie et bâtiment" Intégration de la problématique du bien-être des salariés et des patients dès la construction des bâtiments.


L'animation de la 5 ème Agora du CD2S a été assurée par Madame Christine Belhomme, et les conclusions données par Olivier Toma, Président du C2DS.

Le Comité pour le Développement Durable en Santé, a été créé sous le haut patronage du ministère de la santé et du ministère du développement durable. Il est composé de plus de 200 professionnels de santé et d'un "ensemble des parties prenantes du monde hospitalier".
Le D2DS souhaite : " impulser une dynamique santé-environnement audacieuse, inventive en direction des secteurs hospitaliers public et privé pour créer une nouvelle approche durable et solidaire des soins".

http://www.c2ds.eu/

1) De belles phrases qui nous le souhaitons devront être suivies  d'effets dans les meilleurs délais possibles...